Apres avoir vu ma famille disparaitre sous une foule de sacs et de souvenir… (après avoir mis à sac le marché russe ils se sont enfuis en France avec LE char à boeuf)...
j’ai repris mes « activités »… errance le long de la croisette de Phnom Penh…
le hasard du voyage a fait apparaitre sous mon nez un couple d’amis italien. Je les ai rencontré au Vietnam et nous ne savions ni l’un ni l’autre dans quelle région d’Asie on se trouvait… le monde est petit… soirée passée à se raconter nos anecdotes de voyage…
puis le lendemain, journée dans les bas-fonds de Phnom Penh… j’ai continué le chemin jusqu’à Choeung Ek plus connu sous le nom de « Killing Field », lieu ou se trouvent les charniers des khmers rouges… la mort a envahit ce lieu… une sensation de désolation, de recueillement… et des trous dans la terre désigne les fosses communes ou des centaines de corps furent entassées (plus de 17000 corps furent entassés et non enterrés dans un espace grand comme un terrain de football)…
une pagode regroupant les restes de 9000 corps se dressent au centre de ce paysage champêtre… le contraste est saisissant entre ce lieu de mort et la campagne environnante où l’on cultive le riz, les enfants sourient et jouent et on vous salue d’un signe de main… étrange sensation…
À l’inverse, la soirée se déroulât avec un enfileur de perle français qui m’entraînât dans une drôle de soirée pour finir dans un bordel de Phnom Penh… atmosphère étrange et difficilement descriptible, je rentre seul… une journée « off the rails in Phnom Penh » (pour comprendre lire le livre d’Amit Gilboa)…
le lendemain après un réveil difficile un périple « along the Cambodian coast » commence…
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